Il était l’oiseau
Qu’on avait enfermé dans un sommeil sans rêves
Ses ailes alourdies du mensonge de l’Homme
Ne savaient plus voler
Il était l’oiseau
Qu’on avait enchaîné dans la mémoire des condamnés
Sa voix brisée par les trahisons de l’Homme
Ne savait plus chanter
Il était l’oiseau
Qu’on avait oublié dans les cendres de la mort
Ses yeux asséchés aux indifférences de l’Homme
Ne pleuraient plus que vengeance
Il était l’oiseau endormi…
Il est maintenant réveillé !
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