(…) Alors il crachera son foutre sur les vierges endeuillées
Salissant leur mémoire
Les salissant jusqu'à leur propre histoire
Il les regardera se noyer lentement dans sa semence puante
Et tout autour d'elles, agonisantes
Les âmes anciennes d'hurler leur vengeance
Tout autour d'elles, les autres de se figer dans leur indifférence
Et lorsque le silence se fera à nouveau entendre
Lorsque les oiseaux même s'arrêteront de pleurer
La Bête alors explosera dans sa jouissance nucléaire
Et s'ouvriront à jamais les portes des enfers.