Sur
le vieux chemin en pierre s’endorment mes silences
Et
sous le pas de l’Homme se fragilisent mes souffrances…
Chaque
jour un peu plus
Même
le ciel se chagrine de ton absence
Il
pleure ses larmes d’innocence…
En
pluie perdue
Alors
je crie ce vide immense
Je
le dégueule en rage intense
Mais
vous ne m’écoutez déjà plus !
Les
pierres sur le chemin ont froid de cette violence
Qui
enfante chaque printemps cent mille condoléances
En
bouches cousues
Même
l’hiver frémit ma déchéance
En
crachant ses flocons d’indifférences
Sur
mon corps à moitié nu
Et
j’ai si froid dans ton regard qui me
danse
La
mort soudaine des souvenirs de ton enfance
Je
suis vaincue…
¤ Cat ¤ 25/04/2016
Vaincue, un instant, car sous les pas de l'Homme, se cristallise l'espérance !
RépondreSupprimerTrès jolie Zib
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