L’imposant silence qui s’égraine du temps,
Ecoute les solitudes que lui souffle le vent,
Il n’est plus que tourment dans le vide
désolant.
Parsemer de nos peurs, il voyage dans nos
doutes,
Une errance vagabonde aux secrets de nos
routes,
Un coffret pandorique qui s’écoule goutte à
goutte.
Et classer nos souffrances dans le ventre de la
terre,
Pour renaître à ces bruits qu’on voudrait ne
plus taire,
Ne serrer que la corde qui nous rend solitaire.
17/04/2015
CASQUETTE BIEN BAS pour la justesse de ta plume ! Des mots puissants et le constat de notre condition de bipède pensant ! Bravo ! je partage !
RépondreSupprimerWaouh ! Tu es mon tout premier commentaire depuis l'ouverture de ce blog... Un grand merci à toi fidèle petite casquette... Du baume au coeur !
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