Les portes des églises se sont ouvertes dans un cri
Gueules béantes aux sermons acérés
Gueules béantes aux sermons acérés
Fuyez !
Fuyez pauvres diables !
Elles vomissent vos âmes et crachent vos pensées
Sur les pavés froids d’une ville endormie.
Fuyez !
La foi n’est plus que larmes de sang dans les regards de pierre,
L’espoir n’est plus que cendres sur l’autel désert.
Fuyez !
Fuyez aussi loin que vous le pouvez…
Mais il est sans doute déjà trop tard !
Mais il est sans doute déjà trop tard !
Les cloches sont muettes et pleurent le silence dans un ciel oublié
Les Dieux se sont entretués.
Fuyez… La bête est réveillée !
¤ Cat ¤ ©
Un tres bon texte, felin....
RépondreSupprimerMerci mon ami
SupprimerJ'aime l'urgence qui émane de tes vers! Il est des poésies nécessaires et celle-ci en fait partie particulièrement en ces temps troubles ! Je recommande à tous via Google+ ! CASQUETTE A RAS DE TERRE tant pour la forme que pour le fond !! bisouuuus et douce soirée loin des miroirs frelatés !! A bientôt ma Minette !!
RépondreSupprimerMerci petite casquette... Kiss du chat
Supprimer