Depuis
qu’il avait sur ses lèvres le goût de sa peau
Il
ressentait ce besoin de l’aimer un peu plus
Lui
Qui
ne savait pas aimer
Il
avait susurré ses courbes du bout de ses doigts
S’écoutant
des frissons
Qui
pleuraient sur son corps
Comme
frémissent les roses sous les larmes de pluie.
Lui
Emporté
dans les flots
De
ce corps-à-corps dangereux
Ne
sais pas, ne sais plus,
Et
voudrait renoncer pour ne pas le pleurer
Et
voudrais renoncer pour ne plus le penser.
Depuis
qu’il avait goûté son parfum
En
baisers sur sa bouche
Il
ressentait ce besoin de crier encore plus fort
Lui
Qui
jouait du silence depuis tant d’années
Il
avait chuchoté son désir dans le creux de ses reins
Fleur
de peau
En
pétales endormis
Sur
son torse musclé.
Lui
Sous
la vague du plaisir
A
cesser de ramer dans le sens du courant
Et
s’échoue sur les rives
D’un
amour incompris
Mais pourtant si beau.
Mais pourtant si beau.
¤ Cat ¤ 14/05/2016
Superbe Gente Dame! Suave, sensuel avec un soupçon de douleur en arrière plan!
RépondreSupprimerMerci Mathieu pour avoir pris le temps de commenter. Je me posais justement la question de savoir si le bouton "commentaire" fonctionnait bien. Je vois que oui. Pour ce qui est du texte, oui, j'aime associer l'amour et la douleur. Je trouve que l'un ne va pas sans l'autre... Même si aimer reste la plus belle chose au monde. Encore merci.
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